Mais si cette nouvelle étude de la Répression des Fraudes révèle une nette amélioration depuis les dernières études en date (notamment sur la présence de pesticides), elle déplore toujours la présence de produits nocifs dans 28 des 32 marques analysées, notamment :
- Du formaldéhyde : substance cancérogène avérée pour l'homme
- Des HAP : hydrocarbures aromatiques polycycliques, classés cancérogène avéré pour le cancer du poumon et le cancer de la peau
- Des dioxines : perturbateurs endocrinien
Même l'analyse de certaines marques dites "naturelles" ou "écologiques" a mis en avant la présence de ces formaldéhydes, dioxines et HAP.
Or, comme l’explique Loïc Tanguy, directeur de cabinet de la DGCCRF, il y a un véritable risque d'effet cocktail avec ces substances :
«Il est préférable de disposer de marges par rapport à ce seuil car les bébés peuvent être exposés à ces composants toxiques dans l’environnement. 10% c’est trop ! ». Aujourd’hui, certaines marques dites "écologiques" ou "naturelles" atteignent « entre 10 et 25% des seuils sanitaires »
Retrouvez l'intégralité de l'étude de la DGCCRF sur les couches sur le site du gouvernement.
Face à ces résultats, notre fondatrice Carole Juge s’exprime :
« Depuis la création de JOONE, nous avons été les premiers à nous engager pour une politique transparente, ayant nous même été l’une des premières marques de couches à publier intégralement les analyses toxicologiques de nos couches pour bébé.
Cet engagement très exigeant fait aujourd’hui enfin l’objet d’une prise de conscience partagée par les pouvoirs publics.
60 Millions de Consommateurs avait et déjà salué notre travail en 2018 et la publication de ce nouveau rapport de la DGCCRF nous encourage à maintenir nos efforts en termes d’approvisionnement, de distribution et de pédagogie. »