Pionniers de l'abonnement couches depuis 2017 🚀
Plus de 100 000 familles nous font confiance 👨👩👧👦❤️
Nos couches iconiques, made in France 🇫🇷
Profitez de -15% sur notre rituel anti-vergetures avec le code JMUM15 !
Expert en hygiène et soins transparents
pour bébés et mamans 👶🧼
Langue: FR
Produits
Contenus
0 résultats
Il est haut comme 3 pommes, si frêle (en tous les cas pour vous), et quand votre enfant vous évoque sa nouvelle lubie pour le judo, vous devenez un peu livide. Il veut faire un sport de combat, mais pour vous, c’est violent, voire dangereux. Mais pourquoi a-t-il soudain envie de pratiquer ce type de sport ? Mais, attendez…. et si pratiquer cette activité n’était pas un si mauvais choix pour développer bien des capacités…
“Quand j’ai vu dans les yeux de ma fille cette admiration devant son cousin, je me suis mordue les doigts de l’avoir emmenée avec moi voir la compet de judo de mon filleul. Mais après réflexion et après avoir discuté avec des profs de judo, je me suis dit, et pourquoi pas. Pourquoi pas la laisser tester ce sport. On y apprend le respect, la maitrise du corps. Mais le truc un peu embêtant, c’est quand je vois son poids, sa taille. C’est vraiment un poids plume. Elle est tellement menue”.
Véronique, maman de Léa, 6 ans.
Inscrire un enfant dans un cours de sport de combat peut faire peur aux parents. Rien que le mot combat dans l’intitulé fait reculer plus d’un parent. On entend "combat", on pense lier cela à la bagarre, à l’agressivité. “C’est un cliché ! Un cours de sport de combat n’est pas un film d’action avec des méchants dans tous les sens qui se tabassent”, raconte Marc, ancien Judoka, et père de jeunes filles de 8 et 4 ans. Les entrainements sont adaptés aux enfants, à leur âge, à leur force physique. Mais il est vrai que quand on inscrit son enfant dans un cours d’arts martiaux, on ne le fait pas n’importe où. On choisit toujours un professeur titulaire d’un brevet d’état ou fédéral.
Oui ! Les sports de combat sont une carte à jouer chez les parents d’enfants timides et introvertis. Ces activités apprennent à avoir moins peur de l’autre, à affronter l’opposition. Mais pas que. Ces sports aident un enfant à s’épanouir physiquement et intellectuellement. On apprend la concentration, la réactivité, la coordination grâce à des jeux ciblés en fonction de leur âge.
“Ce sport a eu un impact positif sur mon fils autiste. Mon enfant sort de sa bulle et il va vers les autres. Il prend confiance en lui. Il se mêle au groupe et il ne ressemble plus au garçon timide et crispé à la maison. Mon fils autiste vit. Après un combat, quand il a vaincu l’autre il va même dans les bras de son professeur. Ce n’est pas son père mais il va le voir, il lui tape dans la main, il l’embrasse. Il développe une affection pour une autre personne hors de la famille, Je n’ai jamais vu cela avant”.
Maxine, maman de Illian, 8 ans.
Si ce sport développe la confiance en soi et peut aider un enfant atteint de troubles autistiques, il possède un autre atout, et non des moindres : l'apprentissage de la concentration. Il va devoir apprendre à se concentrer. Il va devoir apprendre à se focaliser sur un objectif. Et on sait combien c’est dur même pour les adultes. Cela en fait une activité vraiment top pour un enfant hyperactif ou TDAH.
On ne commence pas le judo au même âge que la boxe :
On ne pense pas toujours à évoquer l’escrime. C’est un sport de combat. On peut commencer vers 5 ans, mais les gestes techniques sont enseignés vers 8 ans. L’escrime apprend la précision, la coordination, la vitesse, que du bon pour devenir un pro de la motricité.
Mais surtout avant d’inscrire votre enfant à ce type de sport, discutez en avec lui. Il faut vraiment que l’envie vienne de lui, pas de vous. On ne pousse jamais à un enfant à pratiquer une activité sans envie. Sport de combat, basket, danse, gym. Pourquoi ne pas assister un cours en spectateur avant de commencer ?