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Hansel et Gretel, Le loup et les 7 chevreaux, Le Petit Chaperon Rouge... Avouez que toutes ces histoires de bêtes féroces, d'ogres et de sorcières peuvent faire froid dans le dos... Et on s'imagine que pour nos bébés, c'est encore pire ! Surtout lorsqu'ils se mettent à faire des terreurs nocturnes... Alors doit-on boycotter ces histoires qui font peur ? Et bien non. Et on vous dit pourquoi…
En tant que super-parents, notre super-mission est de protéger et sécuriser nos bébés... C'est donc tout à fait normal d'hésiter à leur raconter des histoires qui font peur ! Pourtant, le fait d'enfouir les peurs peut-être encore plus angoissant ! En effet : mettre un nom sur la peur permet de la traiter pour mieux l’exorciser.
Pour Bruno Bettelheim, le célèbre psychologue et auteur de La psychanalyse des contes de fées,
“les parents croient que l’enfant doit être mis à l’abri de ce qui le trouble le plus. Mais les contes posent des problèmes existentiels, qui répondent aux angoisses de l’enfant et contribuent de façon importante et positive à sa croissance intérieure.”
Bonne nouvelle, donc : les histoires qui font peur seraient bonnes pour le développement de l'enfant !
Ces récits qui mélangent peur et suspens peuvent aussi un grand pouvoir thérapeutique ! Le livre montre ainsi à votre enfant qu’il n’est pas seul à avoir peur. Et savoir qu’on n’est pas seul est un réel soulagement, qui rassure et apaise.
Étonnamment, les histoires qui font peur peuvent aussi déclencher des émotions positives : le plaisir d'un moment partagé avec Papa ou Maman, et la naissance du sentiment de justice... car finalement, ces histoires sont bien faites : elles finissent toujours bien !
Chaque enfant est différent... et en tant que parent, on est le mieux placé pour reconnaître ce qui lui convient.
Comme toujours, la meilleure solution reste la communication (même avec un tout petit.) Si vous sentez que votre bébé vit mal le sentiment de peur, mettez les mots sur ce sentiment et expliquez-lui avec vos mots qu'on n'est pas obligé de terminer l'histoire et qu'on peut passer à autre chose !
Vous voyez votre enfant se cache sous les draps à mesure que le suspens monte ? Pas de panique : chaque enfant a sa propre sensibilité, plus ou moins forte en fonction des périodes de son développement.
Alors quand les émotions sont trop fortes, mieux vaut stopper la lecture. Expliquez alors à votre enfant qu’on reprendra la lecture une autre fois. On ne force jamais et on s’adapte à son émotivité du moment.