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Le burn out parental : un sujet ultra tabou, mais pourtant en plein boom chez les parents (et encore plus depuis les nombreux confinements ).
Vous connaissiez peut-être le burn out comme maladie professionnelle, mais cette forme de dépression peut aussi toucher le milieu familial. Entre charge mentale, idéologie de la perfection, épuisement physique, manque de sommeil... la parentalité (aka “le rêve d’une vie”) est-elle en train de vous faire sombrer ? Voici 10 signes à surveiller de près.
Largement influencée par les diktat des médias et d’Instagram, la personne en burn out parental veut renvoyer une image clean et brillante de sa vie. Celle qui gèrerait tout d’une main de maître, avec des enfants tirés à 4 épingles et nourris purées maison (et bio, tant qu’à faire). Sauf que dans la réalité, cette quête de perfection inatteignable fait émerger un énorme sentiment de culpabilité, dans laquelle le parent s’enfonce toujours plus. Sans même s’en rendre compte.
Cela va de paire avec le point précédent. Face à toutes ses ambitions surélevée, le parent a l’impression de n’arriver à rien. On ne perçoit que ses échecs, sans réussir à valoriser ses succès.
A un moment vous vous sentez débordant.e d’amour pour vos enfants, et quelques minutes après, vous avez juste envie de les enfermer dans leur chambre pour toujours. De manière générale, vous jonglez entre une multitude de sentiments contradictoires : fierté puis déception, amour puis rejet, joie et tristesse…
De nature plutôt joyeuse et festives, vous êtes devenu.e pessimiste et cynique. Vous avez du mal à éprouver de l’empathie - voire de la sympathie pour votre entourage, qu’il soit dans votre cercle proche ou plus éloigné.
Overdose des gens, overdose de tout… Vous avez l’impression de ne plus rien supporter. Ni rien ni personne. Ce qui nous amène au point suivant…
Le parent en burn out va avoir tendance à s’isoler. Ce qui est un comble, à un moment où il aurait particulièrement besoin d’aide pour sortir de cette sphère infernale. Plus particulièrement chez les hommes que chez les femmes, le burn out parental peut occasionner le recours aux phénomènes addictifs : jeux en ligne, abus d’alcool, sport à outrance...
Les parents en burn out peuvent se mettre à compenser leur mal-être dans la nourriture. Soit en dégommant les paquets de Dinosaurus des enfants, soit à l’inverse en arrêtant de s’alimenter (ou en faisant un régime drastique pour perdre du poids fort et rapidement.)
Constamment abattue, la personne qui souffre de burn out parental aura typiquement du mal à se lever le matin, malgré une nuit de 10 heures. Somnolence, vertiges, besoin de faire une sieste… Autant de signes qui peuvent vous mettre la puce à l’oreille. Mais paradoxalement, l’un des symptôme de burn out parental est aussi.. :
Malgré l’immense fatigue physique qui affecte les parents en burn out, ceux-ci vont paradoxalement souffrir de trouble du sommeil. Insomnie chronique, problème d’endormissement, sommeil non récupérateur… Un problème encore plus grave qu’il renforce le sentiment de fatigue extrême cité ci-dessus. Un serpent qui se mord la queue, en somme.
En lien avec la sensation d’épuisement physique, le manque de confiance en soi, la prise/perte de poids… il est possible que les parents souffrant de burn out parental ne ressentent plus aucun intérêt pour le sexe. En soi, tout devient une corvée, même les câlins…
1. Si vous sentez que vous perdez pieds, il est important de prendre un peu de temps pour soi, de trouver du temps pour se reposer efficacement et vous reconnecter avec votre corps. Peut-être avez-vous la possibilité de poser ne serait-ce qu’un demi RTT pour souffler un peu ?
2. Déléguez les tâches qui vous demandent le plus d’énergie et de “bande passante émotionnelle”, et recentrez vous sur l’essentiel. Est-ce si grave d’avoir de la vaisselle sale dans l’évier et des moutons de poussière au pied de la porte ?
3. Tenez un journal de bord, sur lequel vous inscrivez toutes les choses positives qui vous sont arrivées sur la journée.
4. Faites une pause de réseaux sociaux.
5. Enfin et surtout, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel pour vous faire aider : psychologue, coach en parentalité...