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Une goute de lait qui perle sur le coin de la bouche, le shoot olfactif de votre peau gorgée d'hormones du bonheur, des bras chauds et réconfortants qui le bercent, le doux son rassurant de votre cœur... Ce n'est que lové contre vous que votre tout petit se laisse aller, repu, au sommeil calme et serein. On ne peut pas vraiment lui en vouloir : à choisir entre un lit glacial et inconnu VS le corps chauds et moelleux de sa maman, le choix est vite fait !
Seulement voilà, derrière ce beau tableau, vous vous posez des tas questions, parce que votre bébé ne s'endort qu'au sein. Et vous entendez la voix de la vieille tante résonner "Tu vas le rendre complètement dépendant ! Tu ne vas jamais t'en sortir !"
Alors, bonne nouvelle...
Pour vous, il est peut être évident que vous aimez bébé et qu’il est en sécurité, même si vous vous éloignez un peu pendant qu’il dort. Mais votre bébé, lui, ne le sait pas. Il a besoin de le sentir et de s’assurer constamment que tout va bien. La mise au sein est donc très rassurante pour bébé. Elle lui permet de baisser sa garde et de trouver le sommeil plus facilement. L’en éloigner peut au contraire créer du stress inutile. On sait que ça peut être frustrant pour les parents. Le deuxième parent voudrait bien avoir sa place dans le rituel d’endormissement quand le premier passerait volontiers le relais. Mais s’il ne s'endort qu'au sein aujourd’hui, ce ne sera pas toujours le cas, promis. Il s’agit simplement d’une étape normale du développement de votre bébé.
Avec l’endormissement au sein, le nourrisson qui a besoin d’être rassuré apprend que l’endormissement n’est pas un moment où il fait face à son stress seul, mais un moment de détente et d’affection. Il retient qu’il y aura toujours des bras bienveillants pour lui quand il en a besoin. Cette réassurance quotidienne lui permet d’être en confiance pour le moment où il commencera à explorer son environnement et à voir de quoi il est capable. Car il saura, au fond de lui, que s’il expérimente un échec ou une émotion négative, il pourra toujours se tourner vers son parent. Puis repartir à l’aventure une fois à nouveau rassuré…
Chaque enfant a des besoins nutritifs et émotionnels différents. Quand il arrivera à combler son besoin de réconfort autrement que par la tétée (avec un rituel de coucher, des câlins, le moment du bain, l’histoire du soir), votre enfant se détournera naturellement de votre sein.
Louisa, 28 ans, 1 enfant.Je me souviens que lorsque Noah était complètement passé aux repas solides, il continuait à réclamer la tétée du soir. Lorsqu’une de mes tantes l’a appris, elle a crié au scandale. Pour elle, c'était sûr, j’allais “leur” en faire un adulte incapable de se gérer dans la vie. J’en rigole aujourd’hui, mais j’avoue qu’à l’époque, ça m’a plus affectée que ce que je voulais bien laisser transparaître. Heureusement mon compagnon était là et nous étions du même avis. Alors on a décidé de continuer. Noah a arrêté de s’endormir au sein à 26 mois. Je m’en souviens, il a posé sa main sur mon sein, mais il n’a pas cherché à le téter. On aurait plus dit qu’il jouait avec. Il m’a sourit et m’a fait comprendre qu’il préférait plutôt qu’on lise le super livre que son papa lui avait acheté la veille.
Vous n’avez pas à culpabiliser de “ne pas réussir” à faire votre bébé s’endormir tout seul dans son lit. Ni d’avoir des jours où vous n’en pouvez plus, où vous préférez laisser votre bébé pleurer au moment du coucher pour une fois. On sait que vous faites de votre mieux. ❤️