Pionniers de l'abonnement couches depuis 2017 🚀
Plus de 100 000 familles nous font confiance 👨👩👧👦❤️
Nos couches iconiques, made in France 🇫🇷
Profitez de -15% sur notre rituel anti-vergetures avec le code JMUM15 !
Expert en hygiène et soins transparents
pour bébés et mamans 👶🧼
Langue: FR
Produits
Contenus
0 résultats
Il se réveille souvent la nuit après un cauchemar ? Peut-être fait-il du somnambulisme ou est-il victime de terreurs nocturnes qui l’empêchent de dormir ? Tous ces troubles du sommeil sont appelés des parasomnies. Comment aider votre enfant quand il y est confronté ? Les réponses dans cet article.
Les cauchemars ce ne sont pas des terreurs nocturnes. Ils peuvent apparaitre dès 1 ou 2 ans mais peuvent arriver à n'importe quel âge. Ils surviennent en milieu ou en fin de nuit. Si ces mauvais rêves ne sont jamais les même et ne sont pas fréquents, il n’y pas lieu de s’inquiéter. Mais si ils deviennent récurrents, ils peuvent devenir un vrai souci : l’enfant ne dort pas assez et peut avoir peur d’aller au lit. Le coucher devient compliqué et il faut faire preuve de patience pour le rassurer.
Si malgré le climat serein que vous concoctez tous les soirs pour votre enfant, cela ne permet pas d'éviter les cauchemars récurrents, vous pouvez consulter un psychologue pour l’aider à comprendre ce mauvais rêve (en parler, mettre des mots dessus, le matérialiser en dessin, pâte à modeler, peut l'aider à le sortir de sa tête et à en faire un mauvais souvenir).
Le somnambulisme touche les enfants dès l’âge de 6 ans. Cela arrive en début de nuit, dans une période de sommeil lent. Mais il est rare que cet état dure plus de quelques minutes. L'enfant peut se lever en pleine nuit, et même avoir les yeux ouverts, ce qui peut être impressionnant. Capable de marcher, le souci c’est qu’il se mette en danger si il descend les escaliers ou tente d'escalader un objet, un jouet. Il risque de tomber.
Si votre enfant est somnambule, il faut sécuriser les lieux. Avant le coucher vérifiez que rien ne traine parterre, et pensez à fermer la porte de sa chambre dès qu’il dort. Si vous le voyez se lever, il suffit souvent de le prendre par la main sans geste brusque. Vous le ramenez dans sa chambre pour qu’il se couche. Le lendemain il ne va avoir aucun souvenir de ce qu’il s’est passer si vous lui demandez pourquoi il s'est mis debout cette nuit.
C’est un réveil brutal, terrorisant pour l’enfant. Souvent accompagnées de cris et de pleurs, les terreurs nocturnes entrainent des sueurs, des terreurs intenses. Sa respiration est saccadée et son cœur bat à grande vitesse. Apeuré, il n’ arrive pas à répondre quand on lui parle. Si l’enfant ne se réveille pas pendant cette terreur, il faut faire attention à ne pas le tirer de son sommeil car les réactions peuvent être brutales. Elles peuvent provoquer des réflexes qui le mettent hors de lui, voire même l'entrainent à se jeter hors du lit. Ces terreurs impressionnantes peuvent durer parfois 20 minutes. Elles touchent surtout les enfants entre 4 et 8 ans. La question est de savoir si elles peuvent être répétitives et créent un vrai trouble du sommeil entrainant des nuits agitées et éprouvantes cassant son rythme et sa forme.
Il parle en dormant. On appelle cela le somniloquie. Rassurez ce n’est rien de grave. Votre enfant peut dire des mots ou des morceaux de phrases en dormant. Cela arrive souvent après un évènement marquant dans la journée.
Ils sont souvent être confondus avec les terreurs nocturnes et apparaissent avant 5 ans. Ces éveils commencent avec des grognements puis suivent des pleurs et une agitation. Les éveils nocturnes sont un phénomène qui peut se répéter plusieurs fois dans une même nuit et durer jusqu'à une demi-heure, parfois plus d'une heure. Si nous avons l'impression que l'enfant est réveillé avec ces confusions, il n'en es rien. Il est bien endormi. Mais l'enfant peut sortir de son lit à cause de la peur et refuser votre aide. Bien souvent il va réussir à se calmer et retourner se coucher.
Les causes sont multiples :
Ces symptômes surviennent souvent par période. Cela peut durer 2 semaines et redevenir normal. Et reprendre des mois plus tard.
En cas de parasomnie chez un enfant, aucun traitement n’est nécessaire. Il faut surtout parler avec lui pour connaitre la source du souci. Plus vous parlez avec lui, plus il va pouvoir vider son sac et se sentir rassurer, conforter et pouvoir calmer ses nuits agitées. Couchez-le en douceur, avec une veilleuse. Faites avec votre enfant de la relaxation, de la méditation, du yoga avant d'aller au lit. Contez lui son histoire préférée et surtout rassurez-le.
Mais ces troubles peuvent avoir des conséquences sur le sommeil de votre enfant :
Prenez contact avec votre médecin pour aider l’enfant à retrouver un sommeil réparateur. Ces conséquences jouent sur sa vie sociale et peuvent perturber son quotidien, son bien-être physique et mental.
Les médicaments sont prescrits dans les seuls cas ou les parasomnies sont persistantes et déclenchent des perturbations conséquentes qui retentissent sur la vie de l’enfant et sa vie de famille.
Sources :