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Blues du dimanche soir, blues monday… Ca ce sont des expressions que l’on connaissait, mais le "milk blues" : ça vous dit quelque chose ? Et bien si vous êtes en période de sevrage avec bébé, alors peut-être ressentez-vous en ce moment comme une petite déprime ? Un coup de blues comme on dit, quand quelque chose que vous viviez avec plaisir se termine…
“Ca a commencé avec des insomnies, impossible de dormir : je me sentais mal. Je ressentais sans cesse comme un manque de quelque chose, de quelqu'un. Je me sentais tout le temps triste. Tout ça, c’est arrivé juste après avoir arrêté d'allaité. J’ai très mal vécu cette période de sevrage, plus que ma fille. Ce manque d’elle près de moi, ces câlins, sa chaleur, le fait de toujours me sentir utile et indispensable à son bien-être… Ca a été une grosse rupture le sevrage et j’ai mis du temps à reprendre le dessus…”.
Louisa, maman de Chloé, a 18 mois.
L’allaitement crée un lien très fort entre la mère et son enfant. Ca fait également sécréter beaucoup d’endorphines et d’ocytocine (hormone du bien-être et de l’amour). Alors lorsqu’arrive la période de sevrage, certaines mamans peuvent ressentir un profond chagrin. Arrêter l’allaitement fait chuter soudainement ces hormones et peut entraîner une déprime chez la maman. D'où la chose indispensable à faire : sevrer bébé progressivement, tout en douceur. Pour vous protéger vous et bébé.
Le sevrage de bébé coïncide avec le retour de couches, ce qui rajoute en plus de la tristesse qu’on ressent, une grossesse fatigue physique. Le tout s’accumule et peut créer une certaine pagaille dans la tête.
L'idéal c'est de penser à des choses qui nous feraient du bien ! Un bien fou, comme s'octroyer un super massage, manger des choses qui nous font plaisir (oui, oui, oui ce qui nous fait plaisir)... Une grosse tasse de chocolat chaud réconfortante par exemple ? Le meilleur gâteau choco qui vous ayez jamais cuisiné ? Pourquoi ne pas se mettre à la méditation, au yoga, profiter de balades au grand air… Bref profiter d'activités qui vous font sécréter une bonne dose d’ocytocine !
Ce contact physique c'est quelque chose d'important avec votre enfant. Ces instants de douceur et de partager vous aideront à prévenir la chute hormonale et vous aider à passer le cap du sevrage plus en douceur.
Cette déprime dure généralement quelques semaines à un mois. Pour faire face à cette période compliquée émotionnellement, n'hésitez pas à demander de l'aide à vos proches et surtout à en parler à votre sage-femme ou une conseillère en lactation. Vous avez besoin d'être soutenue, de parler, de vous confier : c'est indispensable
Non cette relation avec votre bébé ne sera pas moins forte, moins dense, moins connectée. Elle sera certes différente, mais vous aurez avec bébé de nouvelles étapes de vie à partager ! Vous allez l’accompagner dans de nouveaux apprentissages, vous serez à ses côtés et ça c’est formidable !