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Crise de larmes, jouets jetés à l’autre bout de la pièce, cris, un enfant en colère peut manifester son émotion avec énervement mais rien ne sert de crier. Il faut prendre cette colère avec du recul et la canaliser. Guide des activités pour calmer un loulou hors de lui sans criser à notre tour.
Plus facile à dire qu'à faire. On est bien d’accord. Garder son calme est une chose compliquée face un enfant qui pique une grosse colère. Surtout si elle nait de rien. Mais il est comme nous. Rappelez-vous qu’il a des sautes d’humeur, surtout avec la fatigue, une journée longue à l'école ou à la crèche, et que l'énervement prend le dessus.
Evidemment, il est plus compliqué de faire cet exercice avec un enfant qui manque de vocabulaire car il n'a pas terminé l'apprentissage du langage. Si vous êtes prêt à attendre qu’il se calme, vous allez pouvoir lui poser des questions pour chercher le souci qui le ronge. Un jouet piqué par un frère ou une sœur, une tétine perdue, est-il tombé... Pour communiquer, on cherche ce qui le frustre. Des fois, tout peut le frustrer. La fatigue peut tellement perturber un enfant qu’il ne sait même plus pourquoi il pleure. Mais surtout ne laissez pas votre enfant faire déborder cette colère en violence. Lancer un jouet, taper, les gestes violents c’est hors de question. Soignez ferme : pas de gestes brusques et dangereux car cela peut avoir des conséquences comme une punition ou la confiscation d'un objet.
En colère, votre enfant va apprendre avec vous quels mots caractérisent ses émotions. Avec une liste de mots classés en fonction de leur intensité, on va aider l’enfant à repérer ce qu'il vit :
On lui apprend à utiliser cette liste pour nommer son émotion et on va ensuite chercher avec lui d'où elle vient. Que s’est-il passé dans la journée ? Quel événement a perturbé l’enfant ?
Certaines histoires contées aux enfants permettent de les aider à s'endormir, D'autres contes apprennent la bienveillance, le partage, le sens de la famille, les vilains défauts… Et certaines histoires aident les enfants à gérer leurs sentiments. Pour parler de la colère, on va utiliser le caractère des personnages, le physique : des joues rouges, des points fermés, des sourcils froncés, une bouche boudeuse. Ces histoires vont soutenir les parents pour faire comprendre à l'enfant les conséquences de la colère, ce qu’elle peut entrainer et la manière d’y faire face.
C'est une activité manuelle qui va aider à canaliser la colère de votre loulou quand il est hors de lui.
Vous prenez une boite en carton rectangulaire. Vous la fermez avec du stock ou du mastic tape et vous la transformez en visage de monstre rigolo. Il faut penser à découper une bouche grâce à des ciseaux ou un cutter pour y jeter les dessins ou les mots de colère rédigés par l’enfant.
Feuille blanches, crayons de couleur, peinture, laissez le créer le personnage.
Une fois terminé, dès que votre enfant est mécontent, faites lui dessiner sa colère, ou écrire le mot si il sait le faire, et laissez le jeter ce morceau dans la gueule du monstre. Dès qu’il est en colère, sortez la boite.
Pas assez de vocabulaire pour s’exprimer, votre enfant a besoin pourtant de faire sortir sa colère. Il faut qu’il s’exprime et cela peut être fait grâce à une boite à cris.
Bouteille, conserve, boite ronde en carton, on la customise en famille et on s’en sert pour se défouler en criant dedans. Une fois qu’on a mis tous ces cris dedans on sort dehors et on jette tout pour se débarrasser des maux qui nous encombrent et nous énervent.
Si vous avez assez de place dans la maison ou dans sa chambre, vous pouvez créer avec lui sa cabane de retour au calme. Elle est composée de coussins, de dessins, de peluches, de livres, de crayons, de feuilles. Dès qu’il est en colère, vous pouvez lui proposer d’aller s’installer dans sa cabane pour souffler un peu. Seulement avec son consentement, car il a le droit ne pas avoir envie d’y aller.
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